11,6 millions d’écoliers et 2 millions d’étudiants rempilent les bancs

Après des reports non expliqués, c’est aujourd’hui que débute enfin la rentrée scolaire et universitaire. Les chiffres sont éloquents par eux-mêmes et parlent pour toute la société, car il ne faut pas oublier que le principe de gratuité est de rigueur, pour toutes les catégories de la population, sauf dans le secteur privé qui est en pleine expansion.
C’est un moment très surveillé par les pouvoirs publics qui multiplient les inspections et les contrôles pour s’assurer (et se réassurer) que l’ensemble des mesures prises ont été mises en Å“uvre sur l’ensemble du territoire national sans exception.Â
Le parc national d’établissements scolaires et universitaires sont énormes et leur gestion laisse souvent à désirer faute de formation spécifique dans la gestion de ce genre d’infrastructures. En général, se sont des cadres enseignants qui après plusieurs années d’enseignements se retrouvent affectés à la gestion des établissements, ce qui est pour le moins douteux sachant que les sciences de gestion sont une spécialité des sciences économiques.
Cela peut se comprendre pour les écoles et les collèges, mais certainement pas pour les grandes infrastructures ( lycées, écoles supérieures et universités) ! Il est grand temps de mettre en place une formation spécifique à la gestion des établissements scolaires et universitaires. De même pour l’encadrement pédagogique qui en général exige des enseignants une licence dans la spécialité, mais sans toujours prévoir des formations de la transmission des cours et de la pédagogie.
Les manuelles et autres polycopies sont assurées par l’administration centrale et locale, mais leur révision se réalise très lentement alors qu’elle devrait se concevoir annuellement afin d’introduire les innovations universelles.
Il s’agit entre autres de la restauration, de l’hébergement et du transport. À cet endroit également, la gestion des services auxiliaires laisse à désirer, d’autant plus qu’elle a été « externalisée » en grande partie et que les cas de mauvaise gestion, voire de corruption, sont souvent signalés par la presse et les rapports internes.
Une agence nationale autonome de gestion des infrastructures et des services auxiliaires est une urgence pour introduire plus d’efficacité et de transparence dans ce secteur sensible et qui brasse des milliards de DA chaque année.
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