Le président tunisien Kais Saied s’est dit jeudi 12 mai, hostile à la présence d’observateurs étrangers aux prochains scrutins prévus en Tunisie, lors de la prestation de serment de nouveaux membres de l’Autorité électorale qu’il s’était arrogé le droit de nommer.
« Nous ne sommes pas un Etat sous occupation pour qu’on nous envoie des observateurs », a-t-il déclaré lors de cette cérémonie de prestation de serment au palais présidentiel des nouveaux membres de l’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie).
Après des mois de blocage politique, M. Saied, élu fin 2019, s’est arrogé les pleins pouvoirs le 25 juillet en limogeant le Premier ministre et en suspendant le Parlement dominé par le parti d’inspiration islamiste Ennahdha, sa bête noire, avant de le dissoudre en mars.
Dans une feuille de route censée sortir le pays de la crise politique, M. Saied a prévu un référendum sur des amendements constitutionnels le 25 juillet, avant des législatives le 17 décembre. Il s’est par ailleurs octroyé le 22 avril le droit de nommer trois des sept membres de l’Isie, dont le président.
AFP.
La Cour pénale internationale (CPI) a émis, jeudi 21 novembre, des mandats d’arrêt visant le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, et son ancien ministre de ...
Le Représentant permanent de l’Algérie auprès des Nations unies, Amar Bendjama, a exprimé son profond regret après l’échec du Conseil de sécurité à adopter un ...
L’Algérie a appelé, lundi 18 novembre , la communauté internationale à respecter la souveraineté et l’intégrité territoriale du Soudan, tout en exigeant une condamnation ferme ...