Le président syrien, Bachar al-Assad, avait déjà annoncé plusieurs amnisties depuis le début de la guerre en 2011, qui comprenaient de nombreuses exceptions. Le dernier décret d’amnistie en date, daté d’avril dernier, s’applique aux détenus jugés pour crimes liés au «terrorisme», à l’exception de ceux accusés d’homicides. Cette amnistie est considérée par des militants des droits humains comme la plus vaste depuis le début du conflit en Syrie en 2011, qui a fait quelque 500.000 morts. Le ministère syrien de la Justice a déclaré ce mois-ci que des centaines de détenus avaient été libérés, sans préciser le nombre exact. Un responsable militaire, Ahmad Touzan, a déclaré cette semaine aux médias locaux que l’amnistie concernait des milliers de personnes, y compris celles qui sont encore recherchées. M. Touzan a refusé de divulguer le nombre de détenus libérés, car «les chiffres changent d’heure en heure». L’Observatoire syriens des droits de l’Homme (OSDH), qui dispose d’un vaste réseau de source en Syrie, indique qu’environ 1.142 détenus ont été libérés à travers le pays depuis l’entrée en vigueur de l’amnistie. Des centaines d’autres détenus devraient être libérés, selon le directeur de l’OSDH, Rami Abdel Rahmane. M. Pedersen s’est exprimé quelques jours avant que les parties belligérantes syriennes ne se réunissent à Genève pour poursuivre les pourparlers sur la nouvelle constitution.
AFP.
Ce samedi 16 novembre 2024, le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Brahim Merad, a présidé la cérémonie de sortie ...
Ali Badaoui, Directeur général de la Sûreté nationale, a pris part aux travaux de la 92e session de l’Assemblée générale de l’Organisation internationale de la ...
Du 14 au 20 août 2024, l’Armée nationale populaire (ANP) a mené plusieurs opérations à travers le territoire national, démontrant une nouvelle fois son professionnalisme ...