D’une écriture en trémolos, il livre un duel acharné au destin qui lui a injustement infligé cette terrible épreuve. Au bord du déni, Grine, refuse tout, rejette tout. La douleur est un lieu inhumain, un espace de profonde et terrible solitude.
Dans la pièce d’à côté, est un livre émouvant préfacé par l’écrivain Boualem Sansal qui souligne: «L’essentiel est la magie, on l’a ou on ne l’a pas, Hamid est un magicien de l’impressionnisme, en littérature.» Le récit s’ouvre sur un tableau magnifique comme on n’en voit que dans les cartes postales pour touristes: un petit déjeuner aux premiers scintillements du soleil. «Une belle matinée, d’une douceur, d’une luminosité telle qu’elle me fait penser à Camus.»
Réveil D’Algérie.
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