Considéré comme la pierre angulaire de la garantie de l’indépendance de la justice, l’adoption du statut de la magistrature a fait l’objet d’une déclaration de la part du Syndicat National des (SNM), dans laquelle son Bureau exécutif réclame « l’accélération du processus devant mener à la promulgation du texte ». Il faut rappeler que le 8 Avril 20216, une commission fut installée au ministère de la justice pour réviser ce texte et une mouture fut transmise le 6 octobre 2021. Une réunion a été programmé le 23 octobre 2022, en Conseil des ministres, pour examen de la dernière mouture.
Le retard de son adoption.
Ce texte devait faire l’objet d’un « enrichissement » avant qu’il ne suive le processus d’approbation et de promulgation. Depuis, ce texte n’est plus apparu dans l’agenda du pouvoir exécutif, ce qui a fait réagir le syndicat des magistrats le 1er février 2023. Il faut rappeler la première mouture présentée devait consacrer la supervision par le SNM de l’ensemble des questions professionnelles et disciplinaires et déterminer les droits, obligations et l’organisation du déroulement de la carrière des magistrats.
Sensibilité du texte.
Le texte en question est d’une sensibilité majeure, puisqu’il « trace la frontière » entre le pouvoir exécutif et le pouvoir judiciaire et les limites de l’un et de l’autre, avec tout ce que cela suppose, en termes de relations conflictuelles entre les deux pouvoirs. Il est donc crucial que ce texte soit promulgué pour que l’indépendance de la justice ne soit pas un vain mot.
En marge de sa participation à la conférence mondiale sur l’énergie « Gastech » à Houston, aux États-Unis, le PDG de Sonatrach, Rachid Hachichi, a rencontré une ...
Les services météorologiques algériens annoncent de fortes pluies et des orages dans 25 wilayas, touchant principalement les régions intérieures et du sud du pays. Les ...
Le ministre de l’Intérieur italien, Matteo Piantedosi, a annoncé la tenue d’une réunion ministérielle du G7 dédiée à la migration, avec la participation de l’Algérie, ...