En sa qualité de président du Comité Al-Qods, le Roi du Maroc était le premier attendu à condamner, au nom de ce Comité, l’agression sioniste menée vendredi dernier par la police d’occupation à la mosquée sainte d’Al-Aqsa à Al-Qods occupée, mais il ne fallait pas tant espérer de sa part. Car, il y a lieu d’admettre, hors des coups médiatiques qui balaient du vent en louant les efforts du président du Comité Al-Qods dans la défense de la Ville sainte et en faveur de la cause palestinienne, que l’équilibre est impossible entre la présidence du Comité Al-Qods et l’alliance très large et de plus en plus profonde entre le Maroc et Israël.
Réveil D’Algérie.
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