Les anciens maquisards, qui ont insisté auprès de Mokhtar Asselate, du nom de guerre Si Méziane, pour écrire ses mémoires ont tout à fait raison. Et pour cause : dans ses “Mémoires de guerre : 1955-1962. Pour que nul n’ignore ni n’oublie”, Si Méziane y a relaté dans le menu détail la vie des combattants de l’ALN dans le maquis de la Wilaya III et de la Wilaya I où il avait passé 11 mois.
Après bientôt 60 ans de l’indépendance, Si Méziane a relaté “étape par étape” son engagement durant la guerre de libération en tant que chef des moussebiline (volontaires) en 1955 avant de rejoindre le maquis le 12 mai 1956 lorsqu’il était recherché.
L’ouvrage, précieux à plus d’un titre, devrait à être réédité dans une maison d’édition de renom, car les historiens et les nouvelles générations disposent là d’un témoignage d’un acteur, incontournable, du maquis de la Wilaya III et au-delà, qui leur fera découvrir “le vrai visage de la guerre de libération nationale : la vie des moudjahidine et leur sacrifice, ainsi que les souffrances de la population civile”. Le livre gagnerait aussi à être mieux structuré d’autant que l’écriture est plutôt digeste.
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