Une question se pose : Pourquoi avoir interdit l’importation des viandes blanches et rouges pour, quelques mois après, les autoriser ? S’agit-il de protéger la production locale, de « casser » les prix de vente sur le marché national, de protéger nos réserves de change, de démanteler les puissants lobbys… ? Aucune réponse, des pouvoirs publics en charge du dossier (ministère du commerce), est satisfaisante et surtout efficace. La décision d’interdiction comme celle d’autorisation (pour combien de temps), démontre un manque flagrant de maîtrise du marché de la viande, tant au niveau de la production locale que de l’importation ! Pourtant, une solution médiane aurait consisté à contingenter l’importation des viandes par le secteur privé, sans l’interdire totalement, de réguler le marché par la chaine du froid et de la transformation, en cas de surproduction et de permettre l’importation pour couvrir les besoins et maitriser les prix relatifs, de manière à endiguer la spéculation. Force est de constater, que les instruments économiques ne sont pas utilisés et seules les décisions administratives intempestives, sont de rigueur!
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