A cette occasion, Mme Sarah Anyang Agbor a adressé ses « vifs remerciements » au Gouvernement algérien pour son « soutien permanent à l’Institut panafricain des sciences de l’eau, de l’énergie et des changements climatiques ».
EIle a également mis l’accent sur la « qualité de la formation de cet institut depuis son ouverture en 2014, qui accueille 421 étudiants, dont 277 diplômés de 38 pays africains ».
L’Université panafricaine (UPA) -ajoute la même source- constitue un « projet distingué de l’UA, visant à redynamiser l’enseignement supérieur et la recherche scientifique en Afrique, à mettre en valeur l’excellence, à soutenir l’attractivité et la concurrence mondiale, ainsi qu’à se positionner au cœur du développement pour une Afrique prospère ».
Dans le cadre des missions qui lui sont confiées, l’Institut cherche à « produire les compétences appropriées capables de faire face aux défis de divers pays africains dans le domaine de l’eau, de l’énergie et des changements climatiques.
Les deux parties ont évoqué « les questions de développement institutionnel et de cadre législatif ».
En ce qui concerne l’accord tripartite conclu entre l’Algérie, l’Allemagne et l’UA, qui a été revu par l’Algérie et l’Allemagne au lendemain de sa signature, il a été souligné la nécessité de soumettre une « proposition par le Comité de l’UA dans les plus brefs délais ».
S’agissant des autres conventions, l’importance de « les renouveler avant la fin de cette année, notamment la convention entre le comité et l’université Aboubakr Belkaid de Tlemcen, a été soulignée pour assurer la pérennité de toutes sortes d’appui de la part des partenaires: l’encadrement technique, l’approbation de la formation dispensée et la certification des diplômes.Les deux parties ont également convenu de « lancer des formations en troisième cycle (doctorat) dans cet institut.
aps