goule bombardement du pont reliant la Russie à la Crimée qui a été partiellement endommagé nous montre de plus en plus la stratégie du pire que le Président Ukrainien est en train d’inaugurer. En effet, il ne peut pas imaginer que le Russie ne répondra pas à cette attaque dans un territoire qui est considéré par la Russie comme le « sien », ce qui qualifie cette attaque comme préméditée et avec l’accord totale de son allié les USA, de manière à « élargir le front » et mettre en difficulté l’armée russe, qui s’est concentrée sur les territoires de l’Est, rattachés à elles, il y a quelques semaines, après l’organisation d’un référendum d’autodétermination. Ce calcul militaire machiavélique a pour objectif de tester les capacités de l’armée russe à défendre son territoire, contre les attaques ukrainiennes, après que cette dernière a reçu un armement de plus en plus sophistiqué de la part des USA et de ses alliés européens.
A ce jeu jusque boutiste, la Russie riposte par une première salve de bombardement des infrastructures ukrainiennes vitales (centrales électriques, ponts et autres centre ferroviaires) proches de la capitale Kiev, situées à l’Ouest de l’Ukraine, pour bien montrer qu’elle a les capacités d’atteindre tous les points qu’elle jugera utiles, pour faire plier le pouvoir ukrainien et ses alliés occidentaux. En outre, cette escalade ouvre la voie à l’utilisation des armes nucléaires stratégiques et non balistiques, que Moscou possède et dont elle menace d’utiliser, le cas échéant, c’est-à-dire, si les « lignes rouges » tracées par la Russie sont dépassées par l’Ukraine. Faut-il vérifier qu’il ne s’agit pas d’un bluff de la part de V. Poutine ?
C’est ce que les USA et ses alliés occidentaux, à travers l’Ukraine, veulent, sans doute vérifier mais à ce jeu-là, les choses peuvent déraper et ne plus demeurer sous contrôle dans les deux camps, ce qui ouvre la voie cette fois à un conflit nucléaire aux conséquences incalculables pour l’existence même de l’humanité. La Russie ne peut revenir en arrière, ni son Président ni une large partie de son opinion publique, ce qui signifie que d’autres bombardements sont programmés, de plus en plus proche de la capitale et même sur elle, ce qui peut se traduire par des opérations de bombardements du territoire russe, reconnu officiellement par tous les pays et dès lors l’engrenage et la spirale belliqueuse sont engagés, pour « le meilleur et pour le pire ». Les marges de manœuvre sont étroites et les enjeux sont colossaux, personne n’acceptera de perdre la face dans ce d’échec où chacun fait avancer ses pions même en sacrifiant quelques-uns au passage. La raison n’ayant plus sa place dans ce conflit, seul le plus déterminé risque de l’emporter… à quel prix ?
Force est de constater que depuis leurs publications dans les années soixante, les codes communaux et de wilayas ont été amendés à plusieurs reprises, pour ...
Installée officiellement pour analyser les impacts des subventions sur les ménages, les entreprises publiques et privées et les dépenses de l’État, cette « Commission » n’a jusqu’à ...
Il est loin le temps où les relations commerciales algéro-françaises dominaient le commerce extérieur de notre pays. En effet, les entreprises françaises ont toujours considéré que ...