Alger s’apprête à accueillir, du 9 au 11 décembre, un colloque international consacré à l’exploration des liens entre cinéma et mémoire. Organisé par le ministère de la Culture et des Arts, cet événement s’inscrit dans le cadre des festivités marquant le 70ᵉ anniversaire de la guerre de Libération nationale. Experts, cinéastes et universitaires de 16 pays seront réunis à l’hôtel El Aurassi pour débattre du rôle du cinéma dans la préservation de la mémoire collective et la promotion des idéaux de justice et de liberté.
Le cinéma, depuis ses débuts, a servi de tribune aux causes révolutionnaires et humanitaires. Pour Djamel Yahiaoui, superviseur du comité scientifique de l’événement, « le grand écran n’est pas seulement un divertissement : il est un témoin de l’Histoire, un instrument de lutte et un moyen de sensibilisation mondiale ». Pendant trois jours, six sessions thématiques aborderont des sujets variés, tels que le rôle du cinéma algérien avant et après l’indépendance, l’émergence des films de résistance à travers le monde, ou encore les défis actuels de la production cinématographique engagée.
L’événement sera également marqué par des hommages appuyés aux figures emblématiques du cinéma révolutionnaire. Parmi elles, des réalisateurs algériens ayant immortalisé les combats pour la liberté, comme Amar Laskri et Tahar Hannache, mais aussi des personnalités internationales qui ont soutenu la révolution algérienne. Le colloque mettra en avant des noms tels que René Vautier, cinéaste engagé français, Stevan Labudovic, photographe serbe ayant documenté la guerre d’Algérie, ou encore Gillo Pontecorvo, réalisateur du mythique La Bataille d’Alger.
Au-delà des hommages, ce colloque se veut un espace de réflexion sur l’avenir du cinéma engagé. Dans un contexte mondial marqué par des transformations technologiques et sociales, comment préserver et valoriser les œuvres qui racontent les luttes des peuples ? Comment éviter la manipulation de l’image à des fins contraires aux valeurs qu’elle porte ? Ces questions seront au cœur des débats, dans l’objectif de définir une feuille de route pour les générations futures.
Placé sous le haut patronage du président Abdelmadjid Tebboune, ce rendez-vous culturel s’annonce comme un moment fort de réflexion et de célébration. Il ambitionne de rappeler que le cinéma, plus qu’un art, est une mémoire vivante, un outil de transmission intergénérationnelle et un levier pour bâtir un avenir solidaire.
Alger s’apprête à accueillir, du 9 au 11 décembre 2024, un colloque international consacré à l’exploration des liens entre cinéma et mémoire. Organisé par le ministère de la Culture et des Arts, cet événement s’inscrit dans le cadre des festivités marquant le 70ᵉ anniversaire de la guerre de Libération nationale. Experts, cinéastes et universitaires de 16 pays seront réunis à l’hôtel El Aurassi pour débattre du rôle du cinéma dans la préservation de la mémoire collective et la promotion des idéaux de justice et de liberté.
Le cinéma, depuis ses débuts, a servi de tribune aux causes révolutionnaires et humanitaires. Pour Djamel Yahiaoui, superviseur du comité scientifique de l’événement, « le grand écran n’est pas seulement un divertissement : il est un témoin de l’Histoire, un instrument de lutte et un moyen de sensibilisation mondiale ». Pendant trois jours, six sessions thématiques aborderont des sujets variés, tels que le rôle du cinéma algérien avant et après l’indépendance, l’émergence des films de résistance à travers le monde, ou encore les défis actuels de la production cinématographique engagée.
L’événement sera également marqué par des hommages appuyés aux figures emblématiques du cinéma révolutionnaire. Parmi elles, des réalisateurs algériens ayant immortalisé les combats pour la liberté, comme Amar Laskri et Tahar Hannache, mais aussi des personnalités internationales qui ont soutenu la révolution algérienne. Le colloque mettra en avant des noms tels que René Vautier, cinéaste engagé français, Stevan Labudovic, photographe serbe ayant documenté la guerre d’Algérie, ou encore Gillo Pontecorvo, réalisateur du mythique La Bataille d’Alger.
Au-delà des hommages, ce colloque se veut un espace de réflexion sur l’avenir du cinéma engagé. Dans un contexte mondial marqué par des transformations technologiques et sociales, comment préserver et valoriser les œuvres qui racontent les luttes des peuples ? Comment éviter la manipulation de l’image à des fins contraires aux valeurs qu’elle porte ? Ces questions seront au cœur des débats, dans l’objectif de définir une feuille de route pour les générations futures.
Placé sous le haut patronage du président Abdelmadjid Tebboune, ce rendez-vous culturel s’annonce comme un moment fort de réflexion et de célébration. Il ambitionne de rappeler que le cinéma, plus qu’un art, est une mémoire vivante, un outil de transmission intergénérationnelle et un levier pour bâtir un avenir solidaire.
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