Depuis le déclenchement de la pandémie de Covid en Algérie, le marché des compléments alimentaires a connu un véritable boom, alors que l’activité elle-même échappe à toute forme de contrôle à cause d’un vide réglementaire.
Alors qu’ils sont considérés comme denrées alimentaires ainsi qu’un produit pharmaceutique commercialisé sous forme de doses, l’encadrement de la production, de la commercialisation et de la consommation des compléments est complètement absent.
Pour faire la lumière sur cette problématique, le laboratoire d’études et de recherches sur le Maghreb et la Méditerranée a organisé, jeudi dernier, une rencontre à l’université des Frères Mentouri Constantine 1, en présence de médecins, pharmaciens, avocats et chercheurs universitaires ainsi que des représentants des services du commerce et de la santé.
Le constat révélé était tout simplement effrayant, où on a dévoilé l’incapacité des lois existantes à intervenir, alors que le vide juridique est énorme.
Réveil D’Algérie.
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