La maladie n’épargne quasiment plus aucun foyer ou localité à Oran. Le personnel hospitalier, épuisé par un travail presque forcé sur le front de la lutte continue contre la Covid-19, reste malgré tout mobilisé. Cette situation est tellement difficile qu’il n’est plus permis de baisser la garde. Et chacun à son niveau, du plus simple agent de sécurité et d’hygiène au personnel administratif en passant par le personnel soignant, qu’il soit médical ou paramédical, est mobilisé sur le front de lutte contre la Covid-19 . La libre circulation de ce virus est sur toutes les langues, notamment celles des plus impliqués dans la lutte contre sa propagation, à savoir les médecins. L’établissement hospitalier des enfants cancéreux Abdelkader d’El Hassi est doté d’un réservoir d’oxygène d’une capacité de 10.000 litres. Ce réservoir d’oxygène de l’établissement hospitalier a été mis en service durant le mois de février dernier destiné à alimenter les 03 services, notamment ceux de la chimiothérapie des enfants cancéreux en compagnie de celui des radiothérapie, et ce, dans le cadre d’une convention de partenariat avec la société » Lindi Gaz » et l’établissement hospitalier EPH Emir Abdelkader. Il est actuellement à saturation sans oxygène. Il est à souligner que 04 enfants cancéreux ont été testés positifs du Covid ,sont en train de souffrir par l’absence de ce fameux produit d’oxygène. Il est à préciser, que depuis la crise de l’oxygène dans les hôpitaux d’Oran, la répartition de la production des unités d’oxygène « Lind Gaz » est assurée par une commission de wilaya pour superviser les différentes approvisionnement d’oxygène aux hôpitaux de la région ouest du pays à savoir les ,16 wilaya de l’ouest.. Pour faire face à cette situation, des appels à l’aide sont lancés sur les réseaux sociaux, pour doter cet établissement hospitalier en oxygène, bien que cet hôpital dispose d’un réservoir d’oxygène d’une capacité de 10.000 litres est actuellement en épuisement. C’est dire, selon un spécialiste, qui vient, de surcroît, d’être contaminé par le Covid-19, que toutes les voies médicales et d’hospitalisation ont été épuisées dans la lutte contre cette épidémie. “La solution doit désormais venir de l’extérieur par la mise en place de mesures plus strictes, quitte à revenir au confinement, car le personnel soignant est épuisé, il est à bout de souffle !”, martèle-t-il, avant d’ajouter : “Nous avons de plus en plus de personnels qui partent en confinement que ceux qui en reviennent.” Depuis son lieu de confinement, notre interlocuteur dit suivre l’évolution de la situation et veille au bon déroulement de l’activité au sein de son établissement.
Rafik
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