Le défunt a rejoint les rangs de la Guerre de libération en tant que fidaï au sein de l’organisation civile du Front de libération nationale (FLN) en 1954 avant de devenir membre de l’ALN en 1956, dans la deuxième zone de la wilaya historique II où il a participé à plusieurs batailles.
Il fut blessé et arrêté lors d’une bataille livrée en 1960.
Incarcéré par les forces coloniales françaises, le regretté subit toutes formes de torture et fut libéré après le cessez-le-feu en 1962.
Au lendemain de l’indépendance, le défunt a poursuivi son combat au service du pays, en rejoignant les rangs de l’Armée nationale populaire (ANP) et en apportant ses témoignages dans le cadre d’évènements historiques.
Face à cette douloureuse circonstance, le ministre des Moudjahidine et des Ayants droit, Laïd Rebiga a présenté ses sincères condoléances et exprimé sa compassion à la famille du moudjahid Tahar Boussalem ainsi qu’à ses compagnons d’arme, priant le Tout Puissant d’accueillir le défunt dans son vaste paradis et de prêter réconfort à ses proches.
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