L’histoire de l’humanité nous révèle que le cycle de toutes les civilisations connues, passe par trois phases distinctes, une apogée, une situation asymptotique, suivi d’une décadence. De la civilisation égyptienne à celle hellénique, puis romaine et celle arabo-musulmane…, pour prendre que ces dernières, elles ont toutes suivi ce triptyque de manière inéluctable, au cours de plusieurs millénaires ! Dès lors, la question lancinante est celle de savoir si l’actuelle civilisation occidentale, qui règne sur le monde, a quitté sa phase asymptotique pour entamer celle de son déclin ?
Ce constat historique est-il inexorable ?
Cela pose le problème philosophique du temps et de sa dimension à l’échelle humaine. On a très souvent trouvé le « temps long ou court » alors que, par convention, le temps est mesuré en seconde, en minute et en heure à travers la révolution d’un électron de celtium qui gravite autour de son noyau avec une constance la moins irrégulière par rapport autres éléments contenus dans le tableau de Mendeleïev. Cet accord international a permis de mesurer le temps et de dater ces différentes étapes mais surtout de pouvoir le vendre dans un marché. Les vestiges historiques sont mesurés au carbone 14, de manière à être le plus proche de la réalité historique. Comment ignorer cette dynamique inexorable de l’apogée, de l’asymptote et de la décadence, des civilisations, une fois que le problème du temps est mis en facteur dans cette équation ?
La guerre ou l’accord, souvent les deux.
L’histoire nous enseigne que la dynamique inéluctable est souvent ralentie par des actions suicidaires qui ne changent rien au processus mais qui le ralentit et qui augmentent ses conséquences. Avec un peu de recul, il est facile de démontrer que l’on aurait pu faire l’économie de ces destructions massives si l’accord était privilégié avant la guerre… faut-il donner des exemples ? Les démocraties occidentales ont produit des dictateurs (Hitler, Mussolini, Franco, Salazar…) et ont œuvré à en produire (Pinochet, Tchang Kain Tcheq, Marcos…) d’autres, à travers les cinq continents, pour asseoir leur domination, au nom de la liberté et des valeurs qu’elles véhiculent, sans se soucier des valeurs des autres civilisations. Le résultat est catastrophique puisque des guerres multiples et variées ont accompagné cette croyance qui consiste à croire que l’on peut battre une idée avec une arme aussi sophistiquée qu’elle soit ! A l’évidence, la civilisation occidentale n’acceptera jamais ce mouvement historique de l’histoire comme elle n’a pas accepté la décolonisation. Mais le résultat est le même.
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