« Il est devenu impératif de mettre en place une stratégie qui mette en œuvre les résultats des recherches scientifiques pour donner une valeur ajoutée à l’exploitation de ce fruit », a soutenu Hamza Bechihi, secrétaire général de la chambre de l’agriculture de Souk Ahras, initiatrice de la rencontre organisée en coordination avec les universités Badji-Mokhtar (Annaba) et Mohamed-Cherif-Messaâdia (Souk Ahras).
Cela exige également l’association active de l’agriculteur, a affirmé M. Bechihi qui a indiqué qu’une superficie de plus de 5.000 hectares exploitée par 2.000 paysans est cultivée de figue de Barbarie dans cette wilaya frontalière où des efforts sont consentis pour augmenter cette superficie à 10.000 hectares.
APS.