Les constructeurs de l’industrie mécanique de toutes catégories (auto, motos, camion, engins…), sont tenus à ne pas dépasser un certain niveau de décibels (niveau sonore) de leurs produits, de par des instructions légales nationales et ou internationales. S’agissant de moteur à explosion, il est clair que cette réaction physico-chimique entraîne un bruit assourdissant si des « silencieux » ne sont pas incorporés dans les pots d’échappement, pour réduire considérablement les nuisances sonores.
Cette obligation légale, imposée aux constructeurs, avec des nuances par pays, permet la circulation des véhicules de nuit comme de jour, sans aucune restriction. Elle est étendue aux klaxons et autres avertisseurs sonores et notamment à proximité des centres médicaux et autres cliniques. Cependant, pour des raisons subjectives (personnaliser le véhicule et la moto) et objectives (détérioration des silencieux), certain propriétaire de véhicules (toutes catégories) enfreigne la législation et polluent gravement la quiétude des citoyens en augmentant les nuisances sonores, de manière à occasionner de véritables agressions, au sens physique et psychologique.
Il s’agit donc d’une agression au sens pénal et elle doit être traitée en tant que telle, par les pouvoirs publics, en multipliant et généralisant le contrôle technique et en réprimant les contrevenants, tout simplement. Or, la mesure qui consiste à interdire la circulation de nuit des motos, en plus d’être illégale par rapport au droit constitutionnel et à la libre circulation des personnes mais également difficile à mettre en œuvre sur le terrain par les forces de l’ordre. La frustration populaire risque de grandir du fait que les motos sont également utilisées pour le transport de diverses marchandises (alimentaires) et pour certains services (dépannages divers).
Encore une fois, les mesures répressives ne doivent être mises en œuvre, qu’après avoir épuisé toutes les autres et les moyens utilisés doivent être en proportion aux dommages causés et des instruments légaux existants. Dans ce cas d’espèce, le renforcement du contrôle technique, pour cette catégorie de véhicules (auto, motos…) est largement suffisant pour réduire les nuisances sonores, diurnes comme de nuit ! Par contre l’interdiction discrétionnaire, de circulation de nuit, décidée, pour la wilaya d’Alger, pose plus de problèmes qu’elle n’en résout, dans son principe et dans sa mise en œuvre. Les autorités compétentes devraient avoir plus de recul, avant de prendre ce genre de décision et surtout d’en peser le pour et le contre. Déjà, les autres wilayas demandent à étendre la mesure, à la leur, jugeant que cette mesure doit avoir un caractère national.
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