Dr Mourad GOUMIRI.
Le droit à la liberté d’expression et le droit à l’insulte et à l’opprobre…Où se trouve la limite ? Question lancinante et universelle, puisque dans tous les pays la même problématique se pose ! En fait, le problème majeur est celui de la responsabilité de chaque porteur d’opinion doit, à tout prix, faire preuve de maturité, dans l’exercice de ses fonctions, de manière à éviter l’insulte et les attaques personnelles, pour se concentrer sur l’analyse et l’argumentaire. Certes, la justice, dans tous les pays, peut intervenir pour réparer les préjudices causés pécuniaires ou même pénales) avec plus ou moins de fermeté mais même dans ce cas d’espèce, il n’en demeure à moins qu’il « en reste toujours quelque chose » une fois la publication de ce que l’on appelle aujourd’hui une « Fake-news », une spéculation ou un faisceau de présomptions à la personne incriminée et à son entourage immédiat et lointain. On peut invoquer, à cet endroit, des comportements non professionnels voire un langage argotique et ou ordurier, sans que cela ne dédouane l’instigateur du préjudice commis. La « bonne information chasse la mauvaise et vice-versa », déclarent tous les propagandistes et les conséquences sont évaluées non sur la véracité des mots ou des faits affichés mais sur le ressenti dans la société, qui est très facile de propager mais très difficile à éliminer et pour longtemps malgré tous les démentis et les preuves avérées produites. Il est donc important de trouver un juste équilibre entre le droit à la libre expression propre et celui qui consiste à « balancer » n’importe quoi dans l’espace médiatique, au nom de cette dernière.
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