Dr Mourad GOUMIRI.
Les syndicats de l’éducation nationale s’inquiètent, à juste raison, de l’impact du Covid-19, sur l’assimilation des programmes pédagogiques, par les élèves de tous les niveaux, du fait de l’interruption forcée des cours. En effet, la comptabilisation des heures de cours ratés due à la pandémie va très certainement impacter le niveau d’apprentissage de nos enfants scolarisés, à n’en pas douter. Les parents d’élèves soucieux de la perte d’heures de cours vont certainement recourir aux cours particuliers, in situ, soit prodigués par eux-mêmes, lorsqu’ils sont compétents, soit dispensés par des professionnels en la matière. Le reste des parents d’élèves devront se contenter du volume horaire amputé des horaires dû à la pandémie. N’y -t-il pas une possibilité de rattrapage pour endiguer cette situation préjudiciable ? A l’évidence oui, si d’aventure il y a une entente entre les enseignants, les parents d’élèves et l’administration de l’éducation nationale. On pourrait, par exemple diminuer les vacances de printemps et surtout ceux d’été, afin de mettre en œuvre les cours de rattrapage, nécessaires à la finalisation des programmes en tout état de cause, en tentant de dispenser un maximum des cours pour palier à l’impact catastrophique de la pandémie sur l’éducation de nos enfants. Si un budget exceptionnel est nécessaire, pour indemniser les enseignants, je ne pense pas que l’administration des finances pourrait lésiner sur les moyens. En fait, il suffit d’ouvrir le débat et tenter de trouver une solution consensuelle entre les différents protagonistes.
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