El Hadj M’hamed El Anka, une institution musicale

La scène musicale nationale lui doit le chaâbi contemporain, le mandole, une interprétation atypique et des succès qui raisonnent encore chez plusieurs générations de chanteurs et musiciens. El Hadj M’hamed El Anka, précurseur de la chanson chaâbi et enseignant de musique, aura enrichi sensiblement le répertoire du patrimoine musical algérien.
L’Algérie qui célèbre cette année le soixantenaire du recouvrement de la souveraineté nationale, lui doit aussi l’hymne populaire à l’indépendance, le fameux « Hamdoulillah mabqach istiîmar fi bladna », une œuvre que le « ‘Cardinal » avait écrite et composée alors que l’affranchissement du joug colonial se profilait à l’horizon, pour la chanter la première fois le 3 juillet 1962.
Cette illustre personnalité de l’art algérien, disparue le 23 novembre 1978, aura été l’initiateur du genre chaâbi mais aussi de toute une classe d’interprètes du genre, se réclamant de la « Ankaouia », et de plusieurs générations de musiciens qu’il a formées au Conservatoire municipal d’Alger.
APS.
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