La Cour suprême américaine vient d’accepter de se saisir sur le cas d’inéligibilité de la candidature de D. Trump aux élections présidentielles de 2024, pour avoir refusé le verdict des élections précédentes et appelé ses partisans à envahir le Sénat et elle compte rendre son verdict avant juin 2024. C’est sans précédent dans l’histoire électorale de ce pays, qui a toujours fait en sorte que cette cour soit mêlée des « affaires politiques ».
Une élection très serrée.
Tous les sondages sont unanimes à dire que l’écart entre les deux candidats (J. Biden et D. Trump) sera très étriqué et se jouera dans un « mouchoir de poche ». Même si les primaires républicaines ne font aucun doute pour personne, tant les scores enregistrés dans élections qui ont lieu, jusqu’à présent, sont sans appel, N. Haley maintient sa candidature, au cas où celle de D. Trump est rejetée par voie judiciaire, pour différents procès qu’ils lui sont intentés dans différents états et où dans certains cas il a été condamné. Or sur le terrain, force est de constater que plus il est en difficulté judiciaire plus sa côte de popularité augmente.
L’émigration, thème majeur de la campagne électorale.
Comme par hasard,les deux candidats font campagne au Texas, état frontalier du Mexique, où un important flux d’émigrés, tente de traverser la frontière illégalement, créant une situation chaotique et où le sénateur républicain, un proche de D. Trump, n’hésite pas à parler « d’invasion » et accuse l’état fédéral de passivité voire de duplicité. J. Biden, pour sa part, rendant visite à un poste de commandement des gardes-frontières et accuse les sénateurs républicains de bloquer toutes les lois qu’il propose, pour augmenter leur budget et rendre cette frontière imperméable. Les deux candidats ne manquent aucune occasion pour déverser des flows d’injures et de quolibets, rendant cette campagne particulièrement ordurière.
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