L’Allemagne devra encore attendre pour fermer ses centrales nucléaires. En raison de la guerre en Ukraine et des risques de pénurie de gaz russe, dont le pays est particulièrement dépendant, Berlin a fait le choix de la sécurité en prolongeant la durée de vie de son parc.
Ironie du sort, c’est le ministre de l’Économie et du Climat, Robert Habeck, issu du Parti Vert, connu pour ses positions antiatome, qui a annoncé la décision : deux des trois dernières centrales encore en activité du pays, qui devaient fermer à la fin de l’année, resteront « en veille » jusqu’au printemps et seront rallumées en cas de pénurie d’énergie durant l’hiver.
Une décision très critiquée par les organisations environnementales, Greenpeace estimant que la volonté des électeurs n’a pas été respectée.
De leur côté, les conservateurs estiment qu’il aurait été « absurde », compte tenu du contexte de « se priver des capacités de production d’électricité du pays ».
Un point de vue partagé par les Libéraux de la FDP, membres de la coalition gouvernementale, qui réclament que les trois centrales encore opérationnelles restent actives jusqu’en 2024. La solution médiane adoptée par Robert Habeck pourrait faire des remous au sein du gouvernement.
AFP
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