Le directeur général du CRJJ, Rachid Fareh, a insisté, à cette occasion, sur l’importance de ce sujet eu égard au développement de la sanction pénale ayant connu de nouveaux systèmes appelés les peines alternatives, une orientation qui « devrait réaliser des objectifs importants pour la réinsertion sociale des détenus afin de réduire le taux de récidive ».
Cette rencontre porte également sur « l’examen de l’efficacité de la peine privative de liberté dans la concrétisation des nouveaux rôles des peine et la définition du cadre général d’application des peines alternatives pour ce qui est des crimes et des peines prévues par la loi et des peines prononcées pour ce qui est des procédures de mise en œuvre, en sus d’examiner les perspectives des peines alternatives dans le droit algérien ».
Pour sa part, le directeur général de l’Administration pénitentiaire et de réinsertion, Essaid Zerb, a précisé que les acteurs dans le domaine aspirent, à travers cette journée d’étude, à « dégager des recommandations concernant certaines conditions requises pour l’application des peines alternatives, à l’instar de la peine des travaux d’intérêt public ».
APS.