La 4e réunion ministérielle du gazoduc transsaharien s’ouvre ce mardi à Alger

Le Centre International de Conférences Abdelatif Rahal à Alger sera, ce mardi 11 février, le théâtre de la 4e réunion ministérielle du comité de pilotage du projet du gazoduc transsaharien (TSGP). Cette rencontre réunira les ministres de l’Énergie et du pétrole de l’Algérie, du Niger et du Nigeria, pour évaluer les progrès réalisés dans la mise en œuvre de la feuille de route définie lors de la dernière réunion tenue à Abuja, au Nigéria.
L’objectif principal de cette rencontre est d’examiner l’évolution du projet, de souligner les avancées réalisées et de définir les prochaines étapes dans la concrétisation du TSGP, un projet visant à relier les trois pays par un gazoduc pour transporter le gaz naturel vers les marchés internationaux.
En plus de son impact direct sur les économies des pays concernés, le projet représente un axe stratégique pour l’Afrique dans le domaine énergétique, consolidant sa place en tant que fournisseur majeur de gaz naturel à l’échelle mondiale.
Présidée par Mohamed Arkab, ministre de l’Énergie, cette réunion verra également la participation de Sahabi Oumarou, ministre du Pétrole du Niger, et Ekperikpe Ekpo, ministre d’État nigérian chargé des Ressources pétrolières.
Des experts et des équipes techniques des trois pays, ainsi que des représentants des entreprises pétrolières nationales telles que Sonatrach (Algérie), Sonidep (Niger) et NNPC (Nigeria), prendront également part aux discussions.
Lors de la précédente réunion en 2022, les trois pays avaient signé un mémorandum d’entente pour poursuivre leur coordination et leur action commune en vue de la réalisation de ce projet de grande envergure.
Le TSGP s’inscrit dans le cadre du « Nouveau Partenariat pour le Développement de l’Afrique » (NEPAD), et vise à renforcer la coopération régionale tout en soutenant le développement économique, en améliorant la sécurité énergétique mondiale et en diversifiant les sources d’approvisionnement en gaz naturel.
Ce gazoduc est également perçu comme un catalyseur de l’intégration régionale, permettant aux ressources naturelles africaines d’être utilisées de manière optimale, tout en répondant aux besoins croissants des marchés mondiaux et en contribuant au développement durable du continent.
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