Dr Mourad GOUMIRI.
Bien que cette guerre ait toujours existé, depuis des lustres, la « guerre hybride », c’est-à-dire, une guerre essentiellement concentrée sur l’information orientées et la désinformation généralisée, les « Feaks news », les témoignages truqués, les montages frelatés et autres contre-vérités, s’est considérablement propagée, avec l’avènement d’Internet et des réseaux sociaux, qui ont envahi la planète. « Médisez, médisez, il en restera toujours quelque chose ! », c’est ainsi au Moyen-âge déjà, cette guerre était décrite ! Quant à l’Allemagne nazie et son tristement célèbre J. Goebbels, ministre de l’Éducation du peuple et de la Propagande, il déclarait que « plus un mensonge est grand, plus il a des chances d’être cru » ! Où en somme nous de nos jours, dans ce chapitre et que penser des grands médias internationaux dans la guerre hybride qu’ils se livrent sous nos yeux, en fonction de leurs intérêts bien compris. D’autant que, la plupart des grands médias et de leurs supports satellitaires sont entre les mains soit d’entreprises privées soit d’états, qui considèrent que par principe, ils ont toujours raison, puisqu’ils prônent des valeurs universelles, de démocratie et de liberté ! « Vérité en-deçà des Pyrénées, erreur en delà », avertissait déjà Blaise Pascal, dans ses « Pensées », au 17ème siècle ! Nous vivons au siècle de la communication, après une révolution technique, sans précédent, ce qui signifie que ceux qui dominent la communication internationale, maîtrisent le pouvoir mondial et ses intérêts subséquents. Ceci tout le monde le sait pertinemment mais d’ici à nous faire croire ou accroire que l’équation manichéenne entre le « Bien et le Mal » se situe toujours en Occident pour le Bien et dans le reste du monde pour le Mal, il y a là une franchise intellectuelle du « Rubicon », que plus personne de sensée ne peut plus admettre, quels que soient les flux d’informations déversées par ceux qui contrôlent l’information internationale et ses différents canaux. Le passage de la rareté d’information à la surinformation, nous oblige à utiliser des « filtres » pour éviter d’être intoxiqués et partant perdre notre libre arbitre. Tout est dit.
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