Ouiza Yahya, moudjahida et veuve du moudjahid et homme politique Ali Zamoum, s’est éteinte jeudi à l’âge de 86 ans après une longue maladie. Sa disparition vient rallonger la liste des derniers témoins vivants de la Guerre de libération nationale, symbolisant la fin d’une époque marquante de l’histoire algérienne. Affectionnée sous le nom de « Nana Ouiza » par ceux qui visitent le musée d’Ighil Imoula, son village natal où fut proclamée la Révolution le 1er Novembre 1954, elle était connue pour son engagement à préserver et partager l’histoire de sa communauté.
Les funérailles de Ouiza Yahya ont eu lieu vendredi dans son village d’Ighil Imoula, commune de Tizi N’Tlata, daïra des Ouadhias, à 40 kilomètres au sud de Tizi Ouzou. La cérémonie a réuni des centaines de citoyens, notamment des élus locaux, des représentants des autorités et des membres de la famille révolutionnaire, venus rendre un dernier hommage à cette figure emblématique. Son engagement et son dévouement pour préserver la mémoire de la lutte pour l’indépendance resteront gravés dans les mémoires, faisant d’elle un symbole de courage et de résilience pour les générations futures.
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