Accueilli au Théâtre national Mahiéddine-Bachtarzi, le spectacle mis en scène par Toufik Bakhouche sur un texte du dramaturge koweitien Taghrid El Daoud, pose des questions existentielles liées de l’enfermement, l’égocentrisme, l’autoritarisme et le sacrifice pour le bien-vivre commun, dans un registre de l’absurde.
Le 15e FNTP se poursuit jusqu’au 1er janvier prochain avec 13 spectacles en compétition et une vingtaine d’autres en off, programmés dans les salles Ibn Khaldoun, Théâtre municipal d’Alger-Centre et Hadj-Omar.
Le festival prévoit également des conférences, des masters-class et des spectacles de rue.
APS.