La rencontre entre Vladimir Poutine et Donald Trump aura bien lieu en… Alaska !

C’est donc officiel. La rencontre entre les deux présidents, américain et russe, aura bien lieu jeudi prochain, non pas aux Émirats arabes unis, mais en Alaska ! Il faut rappeler que ce territoire était une colonie russe, avant d’être vendu aux États-Unis en 1867 par le tsar Nicolas II, pour la somme de 7,2 millions de dollars et de devenir le 49ème État américain le 3 janvier 1959.
Cette « grande terre » est séparée de la Russie par le détroit de Béring à l’Ouest et le Canada à l’est. La découverte récente de pétrole et de gaz ont boosté le développement économique de cet état. La capitale de l’Alaska est Juneau (c’est peut-être le lieu de la rencontre) mais la ville la plus dense et active est Anchorage.
Le président V. Poutine n’aura pas à traverser l’espace aérien d’un autre pays, ce qui pour des raisons évidentes de sécurité n’est pas négligeable, puisque ce territoire est frontalier avec la Russie.
Le fait d’exclure de cette rencontre l’Ukraine et la représentante l’UE, permet de dire que le processus de paix se réalisera au détriment de l’Ukraine et que les conditions russes seront imposées.
V. Zelenski a fait des déclarations chocs pour affirmer que « rien ne se fera sans l’Ukraine » mais personne n’est dupe dans les chancelleries occidentales et tout le monde pense que la « pax americana » est alignée sur les conditionnalités russes pour la paix et non l’inverse.
Pour maintenir un semblant de cohésion au sein de l’OTAN, le président américain a tenu à téléphoner au chancelier allemand et au Premier ministre britannique, mais aussi président français, ce qui peut se comprendre comme une mise en quarantaine politique de ce dernier.
La rencontre entre l’envoyé spécial américain Steve Witkoff et le président du Fonds d’investissement russe, démontre si besoin, que l’heure est au développement de la coopération stratégique entre les deux pays, ce qui pousse la diplomatie américaine à vouloir faire cesser ce conflit dans les plus bref délai.
Du côté russe, la victoire militaire (2.500 Km2 conquis depuis le début des hostilités) est d’un enjeu capital, pour ne pas se retrouver dans quelques années dans un autre conflit avec l’Ukraine. À cet endroit, les oppositions entre les deux pays sont clairs et la Russie semblent avoir toutes les cartes en main.
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