La déclaration de la présidente de la banque du Sud global, créée par les pays membres du BRICS, selon laquelle l’Algérie allait entrer dans le capital de cette institution financière internationale à hauteur d’un milliard d’US$, est une opération géopolitique, stratégique et financière. En effet, cette déclaration confirme l’engagement politique de notre pays à rejoindre politiquement le camp du Sud global. En outre, il adhère à la demande d’un mouvement qui revendique la multipolarité, dans la gestion des relations internationales, en remplacement à l’ordre unipolaire exercé par les USA depuis la seconde guerre mondiale. Enfin, cette décision permet de circonscrire les instruments financiers de cette domination.
Remplacer le FMI et la BIRD.
Parmi ces instruments figurent en bonne place le couple FMI BIRD qui ont régné sans partage depuis la seconde guerre mondiale. Il est de plus en plus clair que ces instruments monétaires et financiers ont été les bases-arrières de l’ordre unipolaire qui ont œuvré que pour ses intérêts exclusifs. La création de la banque des BRICS est une première étape en attendant la création d’un Fonds monétaire international des BRICS. Ces deux instruments peuvent être mis à profit pour développer la coopération entre les pays du Sud global.
En attendant l’adhésion au BRICS+
La réunion des pays membres des BRICS+ se tiendra en Russie à la fin de l’année et il semble que l’adhésion de l’Algérie est acquise, l’Inde n’étant plus en mesure de la bloquer, pour des raisons d’équilibre interne au sein des BRICS+ et notamment entre la Chine et l’Inde après que d’autres pays aient rejoint le groupe. Il faut donc attendre la fin de l’année mais suivre également les élections américaines.
Force est de constater que depuis leurs publications dans les années soixante, les codes communaux et de wilayas ont été amendés à plusieurs reprises, pour ...
Installée officiellement pour analyser les impacts des subventions sur les ménages, les entreprises publiques et privées et les dépenses de l’État, cette « Commission » n’a jusqu’à ...
Il est loin le temps où les relations commerciales algéro-françaises dominaient le commerce extérieur de notre pays. En effet, les entreprises françaises ont toujours considéré que ...