« L’Algérie, en toutes circonstances, est déterminée à être partie de la solution et non du problème. C’est pour cela que lorsqu’il y a des difficultés entre un pays frère, tel que le Mali, et un pays partenaire et ami, tel que la France, la parole de l’Algérie serait une parole d’apaisement et de responsabilité qui vise à créer les conditions de relations apaisées ».
C’est ce qu’a déclaré, à l’instant à Bamako, le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ramtane Lamamra, affirmant que l’Algérie ne dispose d’aucun « mandat » pour « parler au nom de tel ou tel gouvernement. Nous exprimons nos propres convictions, notre propre sensibilité, et nous expliquons le sens et l’objectif de notre action ».
Lors d’une conférence de presse, tenue à l’issue des travaux de la 6ème réunion de haut niveau du Comité de suivi de la mise en œuvre de l’accord issus du processus d’Alger, en sa qualité de chef de file de la médiation internationale, M. Lamamra a affiché la détermination de l’Algérie à apaiser les relations entre le Mali et la France. Ces dernières ne sont plus au beau fixe depuis plusieurs mois.
Il ajoutera que « de ce point de vue, nous expliquons au partenaire français, ainsi qu’aux autres partenaires, la vision que nous avons de la mise en œuvre de l’Accord de paix et de réconciliation au Mali issu du processus d’Alger (CSA). Et nous militons pour que tous les partenaires internationaux puissent apporter leur contribution à cette œuvre de paix ».
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