L’Algérie a appelé, lundi 18 novembre , la communauté internationale à respecter la souveraineté et l’intégrité territoriale du Soudan, tout en exigeant une condamnation ferme des ingérences étrangères. Lors de son intervention au Conseil de sécurité des Nations unies, l’ambassadeur Amar Bendjama, représentant permanent de l’Algérie, a insisté sur la nécessité d’un cessez-le-feu immédiat entre les parties en conflit.
Le diplomate a exhorté les États à respecter les sanctions et l’embargo sur les armes liés au conflit, soulignant l’urgence d’ouvrir les passages frontaliers pour permettre l’acheminement d’aides humanitaires, en particulier vers les populations du Sud-Kordofan. « Le Conseil de sécurité doit agir pour protéger les civils conformément au droit international », a-t-il déclaré, tout en mettant en garde contre une équivalence entre le gouvernement soudanais reconnu et les Forces de soutien rapide.
L’Algérie a réaffirmé son soutien aux efforts du Secrétaire général de l’ONU et de son envoyé spécial pour ramener les parties soudanaises à la table des négociations. Elle a également exprimé sa volonté de contribuer activement à la recherche d’une solution progressive et durable, en tenant compte des réalités sur le terrain et de la souveraineté du Soudan.
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