Lors de l’ouverture de cette compétition, organisée par le même établissement culturel, Abdelmadjid Djabbour, responsable du ciné-club du palais de la culture, a indiqué que la manifestation permet aux participants d’échanger des expériences, de se frotter aux spécialistes, de mettre en lumière les principes de production de courts métrages et corriger certaines erreurs qui amènent le réalisateur à s’écarter de l’idée principale du film.
Il a souligné que le court métrage a connu un essor remarquable, ces dernières années, grâce à l’évolution des techniques et du matériel audiovisuel, à l’envie d’agir des jeunes amateurs et à leur désir d’intégrer le monde du 7ème art par cette fenêtre qui leur permet de se former et acquérir progressivement de l’expérience dans le domaine de la réalisation et du tournage.
La cérémonie d’ouverture de cet événement d’une journée a vu la projection du court métrage « El Merara » (l’Amertume) du réalisateur Mourad Khan, qui raconte l’histoire de la violence contre les femmes au cours de la vie conjugale, ainsi que la présentation du court métrage « La cité de la paix » de Zakaria Aliouat, qui traite de l’histoire et des monuments d’Annaba.
APS.