Ce prix annuel se base sur l’appréciation globale de œuvre personnelle de chaque artiste et son impact sur les individus et la cité. Il vise à « encourager les talents qui sortent de l’ordinaire par leur originalité » et la profusion de leurs idées, au service du progrès humain et l’épanouissement la société.
Née en 1961, Nassira Belloula est romancière, essayiste et nouvelliste ayant exercé le métier de journaliste de 1993 à 2010, avant de s’établir au Canada où elle s’est inscrite en 2012 à l’université de Montréal pour poursuivre des études en histoire et en littérature comparée.
Son parcours d’auteure se révèle en 1988, avec le recueil de poésie « Les Portes du Soleil »(traduit vers l’Anglais), avant de signer son premier roman en 2003, « La revanche de May » et l’essai « Rebelle en toute demeure ».
L’auteure publie en 2005 l’essai « Conversations à Alger, quinze auteurs se dévoilent », et de nombreuse autres œuvres dont « Djemina » (2008), « 60 ans d’écriture féminine en Algérie » (2009), ou encore, « J’ai oublié d’être Sagan » (2019) en plus d’avoir participé à quelques ouvrages collectifs.
Nassira Bellouna compte à son actif, plusieurs distinctions, nationales et internationales dont, le Trophée des femmes arabes (2010), le Prix Charles Gagnon (2019), tous deux obtenus au Canada, ou encore le « Prix international Kateb-Yacine » pour son roman « Terre de femmes » (2014), traduit vers l’Italien, l’Espagnol et le Tamazight.
Créée en 2002, la Fondation Club Avenir se fixe pour mission l’encouragement de l’excellence dans le domaine des arts et la stimulation de la recherche pour la création de dynamiques créatives utiles, entre autre.
APS.