Dr Mourad GOUMIRI.
En prenant le risque d’engager les forces marines et aériennes mais surtout terrestres, V. POUTINE a certainement évalué le risque qu’il prenait pour déclarer la guerre mais également pour la finir ! Les guerres asymétriques dans l’histoire de l’humanité (Vietnam, Algérie, Afghanistan…), n’ont jamais été gagnées par les plus puissants et se terminent en général, par des négociations de paix, au profit de la partie la plus faible militairement mais la plus forte politiquement. Le nouveau Tsar de Russie le sait très bien et doit certainement avoir dans ses cartes, une porte de sortie qui consolide sa position tout en prenant en considération les intérêts bien-compris des autres et la résilience du peuple ukrainien. La pire des situations, qu’il doit craindre, est celle qui consiste à vouloir occuper l’Ukraine et mettre son armée dans une situation d’une longue guerre subversive, qui serait, à terme, extrêmement difficile à contrôler voire ingagnable. La capacité d’anticipation des évènements du Président russe, des développements sur le terrain, ainsi que la réaction des USA et de ses Alliés et leurs capacités de nuisance, vont être décisives pour préparer l’accord de paix in fine. En attendant, les marchés de l’énergie et des céréales flambent, contribuant ainsi à consolider la richesse de la Russie, qui est l’un des premiers producteurs et exportateurs, de ces deux produits stratégiques. Notre pays devrait avoir une position pragmatique, entre un allié traditionnel et sûr qui assure notre puissance militaire et les occidentaux qui feront tout pour nous obliger à rejoindre leur camp, au nom de principes qu’ils ont les premiers bafoué dans de nombreux conflits sur la scène internationale (Syrie, Libye, Irak, Afghanistan …).
Force est de constater que depuis leurs publications dans les années soixante, les codes communaux et de wilayas ont été amendés à plusieurs reprises, pour ...
Installée officiellement pour analyser les impacts des subventions sur les ménages, les entreprises publiques et privées et les dépenses de l’État, cette « Commission » n’a jusqu’à ...
Il est loin le temps où les relations commerciales algéro-françaises dominaient le commerce extérieur de notre pays. En effet, les entreprises françaises ont toujours considéré que ...