Le Conseil de sécurité convoqué d’urgence après la décision sioniste de réoccuper Ghaza

Face à la récente décision de l’entité sioniste de reprendre le contrôle total de la bande de Ghaza, le Conseil de sécurité des Nations unies s’apprête à organiser une réunion d’urgence.
Cette initiative, portée notamment par l’Algérie et plusieurs membres européens du conseil, vise à répondre rapidement à cette évolution jugée préoccupante sur le plan international.
Alors que la date de cette session reste à déterminer, l’Algérie insiste fortement pour que les discussions aient lieu dans les plus brefs délais, soulignant l’importance d’une mobilisation rapide face à la situation qui s’aggrave dans l’enclave palestinienne.
Dans le même temps, l’Organisation de la coopération islamique (OCI), réunie à Djeddah, a dénoncé avec force cette décision.
Elle qualifie la mesure d’une escalade dramatique dans une série d’atteintes graves aux droits humains que subissent les Palestiniens depuis des années : déplacements forcés massifs, privations alimentaires, blocus étouffant et destructions répétés.
Environ un million de Palestiniens sont menacés d’expulsion forcée, une réalité qui suscite une vive indignation.
L’OCI rappelle que ces actes violent ouvertement le droit international humanitaire, en opposition aux résolutions adoptées par l’ONU ainsi qu’aux avis émis par la Cour internationale de Justice.
Ces institutions avaient déjà ordonné des mesures provisoires qui, jusqu’à présent, n’ont pas été respectées, laissant la situation humanitaire se détériorer dangereusement.
Par ailleurs, l’organisation met en lumière une recrudescence des violences en Cisjordanie occupée, où des groupes de colons extrémistes, protégés par les forces d’occupation, multiplient les agressions et la confiscation des terres palestiniennes.
Ces actions constituent, selon l’OCI, une violation flagrante du droit international, renforçant un climat de tension et d’insécurité sur place.
Dans ce contexte marqué par une intensification des souffrances et des tensions, la pression s’accentue sur la communauté internationale pour qu’elle intervienne rapidement, afin de freiner cette spirale de violence et de garantir le respect des droits fondamentaux des populations palestiniennes.
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