Le PDG ( président directeur de la Sonatrach) M Hakkar Tewfik a déclaré avant hier en marge de la cérémonie d’ouverture du Salon NAPEC ,que la quantité de gaz algérien acheminé vers les pays de l’Europe se font de naturelle conformément aux contrats liant les partenaires et que l’Algérie a cessé d’approvisionner l’Espagne et le Portugal via le Gazoduc Marocain depuis le 1er novembre du mois en cours, et que l’approvisionnement de l’Europe en Gaz ne connait aucune perturbation bien que les quantités injectés sont tributaires de la demande des partenaires étrangers et que les réserves naturelles du Pays sont nettement capable de garantir les besoins des partenaires étrangers et l’approvisionnement de l’Europe en Gaz Algérien ne connais aucune concernant le fameux projet du Gazoduc transaharien, M Hakkar Tewfik a souligné qu’il s’agit d’un vieux projet de 20 ans et que les études techniques ont été finalisé , puisque la compagnie s’attèle aujourd’hui à actualiser les études sur l’impact économique et commerciale de ce projet de grande envergure. Par ailleurs, il faut reconnaître que le NAPEC (North Africa Petroleum Exhibition & Conférence), le plus important à l’échelle méditerranéenne et africaine couvrira les tendances stratégiques et les approches techniques et évoquera les principaux défis et opportunités du secteur énergétique, selon les organisateurs. Des opérateurs du secteur pétrolier et gazier et des fournisseurs de produits et services en relation avec les secteurs des hydrocarbures et de l’énergie participent à cette manifestation internationale, a indiqué l’agence organisatrice du Salon, « EURL NAPEC ».Parallèlement à l’exposition, des conférences sont programmées au profit des participants portant notamment sur « l’énergie en Afrique du Nord: ressources, défis et opportunités », « la position du gaz algérien sur le marché mondial et local », « opportunités et défis majeurs pour l’avenir du secteur intermédiaire et aval en Algérie », « stratégies et investissements futurs dans les nouvelles conditions du marché en Afrique du Nord », « projets clés et opportunités à venir dans la région: réalisations et objectifs », ainsi que le « développement régional et avenir de l’industrie du GNL » et la « commercialisation du gaz ».A cet effet l’on saura que 680 exposants, 1200 délégués, 135 conférenciers étaient au rendez-vous. Le Salon 2021 est considéré par les organisateurs comme le plus grand Salon international dédié aux hydrocarbures en Afrique du Nord et Méditerranée, dédié à l’amont et l’aval pétrolier et aux fournisseurs de produits et services et technologies, qui gravitent autour de l’activité pétrole et gaz.A noter, également, la présence de 40 pays et plus de 29000 visiteurs, des agences de régulation telles Alnaft et ARH, et d’organisations internationales qui activent dans le secteur telles que le GECF. Une exposition s’étalant sur 16 000 m3 regroupera les stands, outre des sociétés précitées, des filiales de Sonatrach et Sonelgaz, des compagnies pétrolières comme le géant norvégien Equinor, l’indonésienne Pertamina, la libyenne NOC, la chinoise CPTDC, l’autrichienne OMV, la chinoise Sinopec, les sociétés de services telles que ABB, Petrofac, Maire Tecnimont, FMC, Entrepose, Ansaldo.L’événement sera ouvert le 8 novembre par le ministre de l’Energie qui prononcera une allocution, suivie des interventions des PDG de Sonatrach et Sonelgaz et du président de l’Agence nationale de valorisation des hydrocarbures Alnaft. La thématique principale qui sera abordée au cours de la première journée est «les tendances énergétiques futures». D’autres thèmes seront abordés tels que les questions énergétiques et leur impact sur la géostratégie, le nouveau modèle de consommation et de production hydrocarbures, le partenariat, le mix énergétique, la réponse de l’industrie pétrolière au changement climatique, les contrats hydrocarbures, les procédures de soumission aux appels d’offres. Les travaux qui s’étaleront jusqu’au 11 novembre porteront sur divers thèmes. Les défis et opportunités d’investissement en Afrique du Nord dans le domaine des hydrocarbures seront au coeur des discussions et débats. Des problématiques importantes seront, également, abordées notamment, «comment maintenir la compétitivité des énergies fossiles ?», «la position de l’Algérie dans le marché international et local». Des présentations sur le domaine minier algérien figurent également au programme, bassins sédimentaires : faisabilité des investissements et opportunités, synergie dans le développement des petits gisements et stratégie de récupération du pétrole dans les gisements anciens (EOR). En filigrane, seront certainement abordées les problématiques liées aux hydrocarbures non conventionnels, notamment l’avenir du gaz de schiste en Algérie, l’application de la nouvelle loi sur les hydrocarbures, les changements dans l’industrie pétrolière et gazière internationale et leurs répercussions sur l’Algérie, les menaces que fait peser le changement climatique sur l’industrie pétrolière et gazière algérienne.
MH
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