Le Premier ministre canadien Justin Trudeau a officiellement annoncé, lundi à Ottawa, sa démission de la direction du Parti libéral, mettant ainsi fin à près de dix années au pouvoir. Bien qu’il reste à la tête du gouvernement jusqu’à l’élection d’un nouveau chef, cette décision marque un tournant dans la politique canadienne, alors que le pays se prépare pour des élections générales prévues plus tard cette année.
M. Trudeau a expliqué que cette décision a été mûrement réfléchie après des discussions avec sa famille. Il a souligné que les divergences internes au sein de son parti et l’érosion de sa popularité l’empêchaient de mener efficacement la campagne électorale à venir.
« Le Canada mérite un véritable choix pour les prochaines élections », a-t-il déclaré, tout en dénonçant le blocage parlementaire et la polarisation politique qui, selon lui, freinent les progrès du pays.
La démission de M. Trudeau, précédée de celle de son alliée Chrystia Freeland en décembre dernier, entraîne la prorogation du Parlement jusqu’au 24 mars 2025, le temps pour les libéraux de désigner un nouveau chef.
Pendant ce temps, l’opposition conservatrice, menée par Pierre Poilievre, critique ce départ, qualifiant le changement de façade politique de « tromperie ». Les prochains mois seront décisifs pour l’avenir du leadership politique au Canada.
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