Le patron du football mondial Gianni Infantino a fustigé samedi 19 novembre, «l’hypocrisie» des critiques occidentales envers le Mondial qatari qui s’ouvre dimanche, principalement au nom des droits humains, vantant les «progrès» obtenus dans ce domaine par la FIFA.
«Donner des leçons de morale – toujours dans le même sens -, c’est simplement de l’hypocrisie», a lancé à la presse le président de l’instance, très offensif à la veille du match d’ouverture entre le Qatar et l’Équateur, après des mois de silence sur les multiples polémiques qui cernent le tournoi.
Dans un monologue d’une heure, le dirigeant de 52 ans a amplement puisé dans son histoire personnelle pour affirmer se «sentir» à la fois «qatari», «arabe», «africain», «gay», «handicapé» et même «travailleur immigré», lui qui est né en Suisse de parents venus d’Italie.
Alors que de multiples médias et ONG ont documenté les conditions de travail harassantes sur les chantiers de la Coupe du monde, Gianni Infantino a assuré «savoir ce que c’est que d’être discriminé», parce qu’il a «été harcelé à l’école» en tant qu’enfant «roux et bouclé, avec des taches de rousseur, et qui parlait mal allemand».
APS.
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