Ladite proposition a été présentée par le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ramtane Lamamra qui a participé à cette réunion en qualité de représentant du Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune.
M. Lamamra a précisé que « les pays africains figurent parmi les pays les plus exposés aux risques de plus en plus croissants de catastrophes et phénomènes climatiques extrêmes », soulignant que « l’Afrique qui n’est pas responsable de l’apparition et de l’aggravation des changements climatiques, doit faire entendre sa voix lors de la prochaine Conférence de l’ONU sur le changement climatique ».
« Ce faisant, nous devons, ajoute-t-il, prendre en compte les enseignements tirés des récentes expériences qui ont démontré que les réponses dans les situations d’urgence sont généralement fragmentées ou très tardives, voire totalement absentes ».
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