A Souk Ahras où il a animé un meeting populaire, le secrétaire général de l’Alliance nationale républicaine (ANR), Belkacem Sahli a affirmé que les prochaines élections constituent »une étape importante vers la concrétisation d’une APN composée de compétences devant traduire la volonté populaire et répondre aux aspirations et espoirs du citoyen », soulignant qu’il demeurait confiant quant à ‘la transparence et l’intégrité de ces élections ».
Le président par intérim du Parti de la Liberté et la Justice (PLJ), Djamel Benziadi, a relevé à Sétif que le député de la future APN sera est investi de la mission de « représenter et de défendre le peuple, de s’inquiéter des préoccupations du citoyen, de participer à la promulgation des lois et de contrôler l’action du gouvernement », d’où la nécessité pour l’élu de « jouir de compétences avérées et reconnues car il s’agit de concrétiser les réformes politiques et économiques auxquelles aspirent les Algériens ».
De son côté, le président du Parti du renouveau algérien (PRA), Kamel Bensalem a indiqué dans ses échanges avec les citoyens à l’occasion d’une activité de proximité à l’Ouest d’Alger, que ces élections demeuraient « la seule voie menant au changement », appelant ainsi « le peuple à exercer son pouvoir en choisissant les meilleurs candidats pour la concrétisation du projet sociétal incarnant la justice sociale ».
A Tlemcen, le président du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaïd a relevé que les Algériens aspirent au « renouvellement de la classe politique » et ce, en encourageant les jeunes à se porter candidat à des institutions importantes de l’envergure de l’APN dans le but de « rétablir la confiance entre le peuple et la classe politique ».
Le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP), Abderrezak Mokri a évoqué à Mascara ce qu’il a appelé « le rêve algérien », relevant que son parti a présenté pour les prochaines élections législatives « des candidats bien formés de par leur militantisme au sein du Mouvement et des responsabilités assumées durant leur gestion des collectivités locales ».
Abondant dans le même sens, le président du mouvement El-Bina, Abdelkader Bengrina, a évoqué à Laghouat le « projet » de son parti qui vise « une intégration sociétale à travers la réduction des disparités, l’équité des chances, l’exploitation optimale des ressources du pays, la consécration du caractère social de l’Etat, la protection du tissu social et la concrétisation du développement global et durable profitant à l’ensemble du pays ».
A partir de Annaba, le président du Front de la justice et du développement (FJD), Abdallah Djaballah, a invité les électeurs à « assumer leur responsabilité et voter pour les candidats de son parti afin d’élire une Assemblée qui consacrera le principe de contrôle de l’action de l’Exécutif et sera un trait d’union entre le citoyen et les Pouvoirs publics ».
A El Bayadh, le président du Front national algérien (FNA), Moussa Touati, a estimé que ces élections représentent « une opportunité pour les Algériens d’exercer leur volonté et leur pouvoir en choisissant, de manière transparente et impartiale, leurs représentants à la future Assemblée ». Le même discours a été développé par le président du parti Fajr al Djadid, Tahar Benbaibeche, à Tssemsilt, où il souligné l’importance de la future Assemblée nationale qu’il a comparée à une « locomotive pour l’édification d’autres institutions du pays ».
Idem pour la présidente de Tajamoue Amel al Jazair (TAJ), Fatima Zahra Zerouati, qui a souligné à partir de Biskra que ces législatives marqueront « le début de la restauration de la volonté et de la souveraineté du peuple », appelant en même temps les citoyens à « élire des candidats compétents et honnêtes pour servir le peuple concrétiser ses aspirations ».
aps