L’Egypte considère ce mégabarrage comme une menace existentielle, car elle dépend du Nil pour 97% de ses besoins en eau et irrigue 60% de ses terres agricoles, un secteur qui emploie 31% de sa main-d’œuvre. En trente ans, les précipitations ont chuté de 22% dans le pays, selon la Banque mondiale.
Le Premier ministre éthiopien, Abiy Ahmed, a annoncé, hier, la fin du remplissage du grand barrage de la Renaissance sur le Nil, présenté comme le plus grand d’Afrique, menaçant de relancer les tensions régionales avec l’Egypte et le Soudan situés en aval, rapporte l’AFP.
Cette annonce intervient alors que des négociations entre les trois pays, interrompues depuis avril 2021, ont repris le 27 août.
Source: El Watan.
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