Le phénomène de l’exode massif des médecins du secteur public n’est pas nouveau, mais ces dernières années, il a pris des proportions inquiétantes. Rien que pour 2022, 1 200 médecins, de différentes spécialités, ont quitté le pays pour aller exercer en France. Ces derniers ont réussi au test d’équivalence mis en place à cet effet.
Le Dr Ilyès Akhamoukh, chef de service des maladies infectieuses au niveau de l’Etablissement public hospitalier de Tamanrasset, a appelé à « agir vite » avec des mesures incitatives pour garder cette « matière grise » au niveau national. « Il faut agir vite, non pas pour arrêter l’exode de nos médecins vers l’étranger, mais pour limiter cette hémorragie », a insisté le Dr Akhamoukh lors de son passage, ce lundi, sur les ondes de la Chaîne 3 de la radio nationale.
En dépit de l’amélioration des conditions globales de travail dans les établissements hospitaliers, le spécialiste a déploré le manque de moyens et de prise en charge qui démotivent nos médecins dans la plupart des villes algériennes. Il a évoqué l’exemple des villes de l’intérieur qui manquent de beaucoup de moyens.
Source: Le Jeune Indépendant.
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