livre « La crise berbère de 1949 » de Abdennour Ali Yahia.

A la mémoire de Ouali Bennaï et de Amar Ould-Hamouda, personnages hors du commun, monuments historiques sacrés d’une grande valeur militante, que l’on peut considérer comme les leaders les plus grands du mouvement national, des guides éclairés assassinés à la fleur de l’âge par leurs pairs, pour avoir porté haut et fort le flambeau de l’Amazighité forgée de larmes et de sang, pétrie de dignité, d’honneur, de fierté et d’éthique. Mourir pour la berbérie –Tamezgha, la patrie, noble et juste cause, présente dans leur vision, leur stratégie, leur esprit et leur cœur, dans leur démarche et dans leur action–, était leur destin. Leur sacrifice final pour cette terre d’Algérie qu’ils ont tant aimée, n’aura pas été vain, leur souvenir sera vivant et le devoir que chacune et chacun doit rendre à leur mémoire, est de poursuivre jusqu’à son terme l’œuvre à laquelle ils ont consacré leur vie jusqu’à ce que la mort les sépare. Ils attendent de nous de vivre pour eux, pour continuer leur combat et le réaliser. Vers leur mémoire montera la gratitude de la nation, qui les honorera et les fera entrer dans l’histoire, le jour où la démocratie aura droit de cité dans ce pays.
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