Prennent part à ce workshop organisé en collaboration avec l’Unité de fusion et de liaison des pays du Sahel (UFL) et à l’ouverture duquel a assisté l’ambassadeur algérien au Burkina Faso, Mohamed Ainseur, le ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, Clément Sawadogo, ainsi que les représentants des pays membres permanents (Algérie, Burkina Faso, Libye, Mauritanie, Mali, Niger, Nigeria et Tchad), et des trois pays observateurs (Guinée, Sénégal et Côte d’Ivoire).
Dans une allocution prononcée à cette occasion, le représentant du pays hôte a exprimé la gratitude de son pays pour la confiance qui lui a été conférée afin d’abriter les travaux de cet atelier dans un contexte sécuritaire instable, où le nord du Burkina Faso a connu, il y a environ un mois, une attaque terroriste qui a fait plus de 130 morts.
A ce propos, le responsable burkinabé a invité l’assistance à observé une minute de silence pour se recueillir à la mémoire des victimes.
Après la clôture des travaux de cet atelier mercredi, la LOPIS tiendra son Assemblée générale (AG) ordinaire, prévue en 2020 mais reportée en raison de la crise sanitaire mondiale, en application du règlement intérieur définissant la tenue d’une AG tous les trois ans pour élire les structures administratives.
La LOPIS compte des imams, prêcheurs et oulémas de 11 pays membres, en l’occurrence les huit pays membres permanents de l’Unité de fusion et de liaison des pays du Sahel (UFL) (Algérie, Burkina Faso, Libye, Mauritanie, Mali, Niger, Nigeria et Tchad), et trois pays observateurs dans ladite Unité (Guinée, Sénégal et Côte d’Ivoire).
aps