La 28e Conférence des parties de l’ONU (COP28) s’ouvrira à Dubaï le jeudi 30 novembre, mettant en lumière l’urgence croissante du dérèglement climatique, en particulier en Afrique. Les pays africains, qui sont les premières victimes des conséquences dévastatrices du réchauffement climatique, devront y participer avec un objectif clair : mettre en place des mesures concrètes pour une transition climatique équitable et durable.
Malgré sa contribution limitée de 2 à 3 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, l’Afrique subit de manière disproportionnée les affres du changement climatique. Les sécheresses, les inondations, les canicules et les incendies ont atteint des proportions alarmantes, menaçant les moyens de subsistance et la stabilité économique de la région. Le récent sommet africain sur le climat à Nairobi, qui s’est tenu début septembre 2023, a marqué une étape importante avec la signature de la « Déclaration de Nairobi », un document qui servira de guide lors de la COP28.
Ce texte souligne la nécessité impérieuse pour les nations industrialisées de respecter leurs engagements passés. Il préconise spécifiquement l’instauration d’une taxe carbone à l’échelle mondiale, ainsi que l’attribution de droits de tirage spéciaux au Fonds monétaire international dédié au climat, sur le modèle déjà utilisé lors de la crise de la Covid-19. Ces mesures sont essentielles pour faire face aux défis climatiques et assurer une transition juste vers un avenir durable.
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