Le fait d’avoir été admis comme médiateur dans la « crise politique interne » au Niger, est en soi une victoire diplomatique pour notre pays ! En effet, l’Algérie, qui a toujours prôné le dialogue politique, pour résoudre les conflits et les crises politiques, plutôt que l’intervention militaire, était attendue au tournant et notamment par les pays membres de la CEDEAO et la France. Encore une fois, notre pays a marqué le fait géopolitique évident que la région subsaharienne faisait partie de sa profondeur stratégique et qu’elle entendait bien agir dans ce sens avec tous ses moyens d’influence. Ceci d’autant que, les attaques terroristes reprennent dans la région, dite des trois frontières, avec acuité, les divers groupes terroristes profitants des crises politiques et du retrait des forces onusiennes dans la région, ainsi que ce celles françaises chassées par les nouveaux dirigeants de ces pays. Avec la déstabilisation de la Libye, c’est toute la région qui se trouve confrontée à des attaques terroristes, ce qui entraine des millions de « déplacés » et des futurs migrants vers les pays de l’UE. Notre pays est donc engagé à trouver une solution consensuelle, permettant le retour rapide à la légalité constitutionnelle, après avoir consulté toutes les parties concernés, sans exception. La diplomatie algérienne doit donc s’en tenir strictement à son rôle de médiateur accepté, sans s’ingérer dans la construction de la solution finale qui est du seul ressort du peuple nigérien exclusivement. C’est à cette condition que notre pays conservera une certaine crédibilité, pour lui permettre de mener à bien sa mission de bons offices.
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