Il y a 38 ans, le 1er décembre 1985, nous avons perdu un grand artiste, le peintre algérien Mhamed Issiakhem. Son talent était exceptionnel et sa générosité sans limites. Il a laissé un héritage immense pour l’Algérie, avec ses peintures, ses timbres, ses billets de banque, ses affiches et ses illustrations, entre autres.
L’art de Mhamed Issiakhem a transcendé les frontières de son pays et a conquis le monde. En 2013, lors d’une vente aux enchères à Paris, son tableau intitulé « Maternité » a été vendu pour la somme de 175 000 euros.
Mhamed Issiakhem, né le 17 juin 1928 à Taboudoucht (Tizi Ouzou, Algérie), est décédé le 1er décembre 1985 à Alger. Il a obtenu son diplôme de l’école des beaux-arts d’Alger et a travaillé en tant que dessinateur pour le journal Alger Républicain. De 1964 à 1966, il a occupé le poste de chef d’atelier de peinture à l’école des beaux-arts d’Alger, puis il est devenu directeur pédagogique de l’école des beaux-arts d’Oran.
Mhamed Issiakhem a reçu de nombreuses distinctions tout au long de sa carrière. En 1980, il a été honoré du premier simba d’or à Rome, une distinction décernée par l’UNESCO en reconnaissance de son art africain. En tant qu’artiste engagé, Mhamed Issiakhem a toujours milité pour la valorisation de la culture et de l’art en Algérie.
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