La dernière vague de migrants sur l’île italienne de Lampedusa, a montré toutes les contradictions de l’UE et leurs calculs personnels et mesquins, puisque chaque pays membres réagit selon ses propres intérêts étroits, incapable de développer une politique migratoire commune, construite sur des visions à moyen et long terme et traitant des problèmes structurels. Cette crise migratoire a également réveillé les vieux démons de la xénophobie et du racisme et dans la plupart des pays où des élections, de tous niveaux, sont proches, les sondages montrent que les partis d’extrême droite sont susceptibles de les gagner du fait d’un discours radical sur le sujet de l’émigration. Ceci d’autant que les ressources financières européennes consacrées à ce sujet se font à minima et au compte goutte, comme l’illustre le cas de la Tunisie qui est aujourd’hui en situation explosive et qui se voit refuser l’aide multinationale (FMI) et celle de l’UE, sans conditionnalités politiques.
La nomination d’un ministre chargé des exportations et la tenue d’un Conseil des ministres consacré aux exportations, montrent l’intérêt des autorités économiques à ce secteur ...
La Banque d’Algérie a promulgueé, dans le Journal officiel n°77, le Règlement n° 24-05 du 13 octobre 2024, une nouvelle modification des sommes en devises que ...
La Cour pénale internationale (CPI) a émis, jeudi 21 novembre, des mandats d’arrêt visant le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, et son ancien ministre de ...