Cela devient un rituel bien orchestré, à chaque discours de Mohamed VI, à l’occasion de la fête du trône. Le roi consacre une partie non négligeable de son discours aux relations entre le Royaume et l’Algérie et tend sa main droite à la « réconciliation, à la fraternité et au rapprochement des deux peuples », avec la cerise sur le gâteau… l’appel à l’ouverture des frontières ! Mais que cache-t-il dans la main gauche ? Le roi ne dit rien mais continue à développer ce que son prédécesseur le roi Hassen II a toujours entrepris avec cynisme, la destruction des intérêts algériens, par tous les instruments qu’il a entre les mains, la guerre des sables de 1963, la non ratification par le parlement des accords frontaliers (Ifrane et Tlemcen) pendant plus de 10 ans, l’envoi massif de drogues en direction de notre pays et enfin, l’ingérence dans nos affaires intérieures. Il y a donc un double langage qui nous permet de demander à Mohamed VI de nous montrer les deux mains lorsqu’il s’adresse à notre pays.
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