Le chef de service de la médecine interne au CHU de Sétif PR Malek RACHID, a donné des chiffres édifiants, ce mardi 01 mars, lors d’une rencontre avec la presse organisée par le groupe Pharmaceutique danois Novo-Nordisk. 9,7 millions d’algériens souffrent d’obésité modérée à grave (indice de masse corporelle supérieur à 30). Ce qui représente 21% de la population adulte (18 à 64 ans).
L’obésité est « un facteur de risque indéniable d’évolution vers une forme sévère de la maladie COVID-19 ». Novo Nordisk a rapporté qu’en Europe, « les dépenses financières induites par les soins secondaires lors de la première vague de l’épidémie Covid-19 (Juin 2020) ont atteint presque 14 milliards d’euros, dont 76% ont été consacrés au traitement des personnes en situation de surpoids et d’obésité ».
Pour le Pr Malek, l’obésité intra/abdominale est la plus dangereuse. La chirurgie bariatrique, très coûteuse, est réservée aux cas extrêmes.
Les alternatives sont plutôt dans les activités physiques régulières et les médicaments. «Réduire le poids de 5 à 10% est d’un grand bénéfice pour le corps» conclut Professeur Malek.
Réveil D’Algérie.
Dans le cadre de la prévention des infections respiratoires, l’Institut national de Santé publique (INSP) a organisé, lundi 18 novembre 2024, une journée de sensibilisation ...
Dans cet entretien exclusif accordé à Réveil d’Algérie, le Dr Yasmine Amazit, spécialiste en pneumophtisiologie, partage son expertise sur les enjeux de santé liés au ...
À l’occasion de la Journée Mondiale du Diabète le 14 novembre 2024, l’Algérie intensifie ses efforts pour sensibiliser sur les risques et complications du diabète, ...